vendredi 28 mars 2008

La loi de Murphy episode 2

Dans l'épisode précédent je vous ai fais part de ma subite malchance. Comme si j'avais eu une bonne étoile toute ma vie et qu'elle avait décidé de s'éteindre laissant toute la misère du monde s'abattre sur moi, rien n'a été épargné, pas même mes chaussures qui m'ont coûtées les yeux de la tête.
Si vous avez une bonne mémoire ou alors une bonne paire de zyeux vous vous rappelez qu'au comble du suspens - je vous avais laissé alors que j'étais dans la pire situation possible. Du moins le croyais-je, car nul ne peux connaître les plans que le grand créateur a fabriqué pour nous. Cela dit le mien doit être salement pervers parce qu'il tape partout ou ça fais mal. Premièrement j'apprends que mon ex m'a vite fais, bien fais remplace par un jeune éphèbe pré-pubère qui n'a même pas l'âge de mon frère (la te-hon) mais qu'en plus, et c'est la ou l'on voit que les femmes son vicieuses, elle a eu le culot de me dire "maaaaais non ya rien, on a rien fait". Ce que je m'étais empressé de démentir, allant jusqu'à hurler dans mon combiné pour qu'enfin elle me dise (texto) : "Bah tu vois t'es qu'un gros con, d'ailleurs quand tu m'a appelée l'autre soir et que je n'ai pas décroché c'était parce que je lui roulais des grosses pelles et ensuite je t'ai pas rappelé parce qu'on baisait comme des bêtes, mmmm c'était trop bon".
Sale pute.

Quand je pense que moi je n'écrivais rien ICI pour la préserver, pour pas qu'elle soit triste. CHATTE MOUILLE JE BAISE ET JE ME FAIS SUCER DANS DES TOILETTES !
Voila, c'est pas grand chose mais ça soulage.

Du même acabit on peux alors rebondir sur l'épisode avec mon chef qui me tint à peu près ce langage : "Mon cher Pierre, si tu arrives encore une fois en retard au boulot, je prend ton contrat, le déchire et en fait des confétis." Avouez que ça met mal à l'aise. On peux rajouter à ça que j'ai oublié mon briquet pour allumer mes cigarettes, que je me suis tapé le pire boulot possible (à savoir encoder des cartes) boulot que je ne dois normalement PAS FAIRE, mais que j'ai aussi raté le bus du retour deux fois.
Oui deux, la première fois je suis arrivé en retard, la seconde en voulant demander du feu à des djeuns ; le bus m'a esquivé ce bâtard.

En arrivant chez moi je me suis bouffé une pizza en me disant que demain tout ira mieux.


ERREUR, mais ça vous le saurez au prochain épisode : Murphy 3 ou comment rater son week end à Paris prévu depuis 1 mois.

jeudi 27 mars 2008

La loi de Murphy

Il y a des jours comme ça, ou on a vraiment la poisse. Aujourd'hui est un de ces jours mais si l'on veux comprendre le pourquoi il faut remonter à hier soir.

Hier soir c'était soirée infirmière et ça tombais bien parce que moi mon petit cœur il saigne, il me fallait des soins et vite. L'ennui ou plutôt devrai-je dire le dilemme c'était que premièrement le lendemain je dois me lever tôt pour gagner à la sueur de mon front l'argent qui me permet justement de payer l'entrée en boite pour pouvoir tringler de l'aide soignante. Et deuxièmement je suis bien trop souvent en retard. Ce qui me valut un longue réflexion d'au moins quelques secondes ( à la vitesse d'un esprit aiguisé comme le mien "quelques secondes" c'est long) pour décider si je préférai mon job à une pipe. Pfiou ce fut dur de renoncer.
Et c'est ainsi que je me suis retrouvé sur les coups de deux heures du matin en boite ( de beaufs) à danser sur du mika mal mixé. Imaginez quand même le truc, le dj s'appelle Tonio86, ça m'a fait me hérisser tous mes poils de jeune citadin branché. Enfin il faut de tout pour faire un monde et puis au pire on se bouche les oreilles. On va pas faire les difficiles, surtout quand on a faim, surtout quand les filles ont à elles toutes réunies le quotient intellectuel de David Beckham surtout quand le ratio est de 3 filles pour un mec.
Cela dit et pour bien vous frustrer je ne vous raconterai pas la suite des événements si ce n'est que je suis rentré chez moi vers 5heures du matin, légèrement bourré ; ça y est nous arrivons enfin au sujet chaud de ce billet, car oui il a bien fallu que quelques heures plus tard je me réveille...

Vous connaissez tous la célèbre loi de Murphy, vous savez si un truc peux aller mal alors il ira mal et pour imager le tout les psychologues de comptoir n'hésiterons pas à vous déblatérer la célèbre rengaine de la tartine beurrée qui tombe tout le temps du coté du beurre. Passionnant et jusque la autant dire qu'on s'en branle. Sauf que ce matin j'ai été victime de cette affreuse machination. Imaginez le désastre je me réveille une heure en retard car mon réveil par je ne sais quel miracle informatique ne s'est pas déclenché (en voila une énigme !) en voulant prendre ma douche je me cogne le pied contre le rebord évidement j'accumule le temps perdu en m'habillant (je vous rappelle que je suis l'équivalent masculin d'une pétasse décolorée) puis je me dirige vers le bus. Et la, ô mircale après une interminable attente je me rappelle que ma rue est en travaux (c'était donc ça les tracteurs ?) et que de ce fait évident le bus ne passera pas ici, prenant mes jambes à mon coup je me dirige vers l'arrêt suivant. Au passage anecdote amusante mes chaussures ont aussi été victime d'un complot puisque la semelle est percée d'un trou gros comme le sexe de masta ce qui permit à mon pied droit de prendre la flotte pendant la dite course effrénée. Sensations garantie. Une fois arrivé à l'arrêt du bus celui-ci me passe sous le nez, permettez moi du peu mais putain de bordel de bite à cul quand même. Alors j'attends... J'attends et au bout d'un moment ZOU, je grimpe dans le dedans du bus. Bus qui bien évidement se trouve blindé, donc pas de place assise pendant minimum 40 minutes, à moins de buter une vieille je ne vois pas de solution. Bref je prend mon mal en patience en me balançant quand je le peux d'un pied sur l'autre histoire de répartir la crampe. Comme vous vous en doutez encore le bus s'engouffra dans un embouteillage d'une demi heure et la je me mis à prier pour mon salut. Seigneur, pourquoi moi ? Qu'ai je bien pu faire pour mériter ton courroux ? Et c'est à peu près ainsi que je me suis retrouvé avec 2heures de retard au boulot ( vous noterez l'habileté toute particulière avec laquelle je vous balance une ellipse d'enculé). A peine eu-je franchis le pallier du secrétariat que je me fis harponner par miss standard 2001 :

-"Pierre RDV avec le boss, NAO. (kioo, lol)."
-"Putain de tartine".

La suite ce soir si vous êtes sages.

jeudi 20 mars 2008

Un billet avec des liens dedans.

Je tiens à remercier le contingent de connards qui hier soir, m'ont appelé pour me signaler que je passais à la télé.

-Allo Pierre ?
-Oui
-T'es à la télé la, c'est ouf mec regarde !!
-Ah yes attends j'allume

Et hop je tombe sur Cristophe le mec trop stylé. Merci bande de cons.

Enfin bon ça n'a pas altéré ma bonne humeur puisque je vais être le nouveau Monsieur Tendance de comme un camion et ça, ça poutre vénère. Je serai donc rédacteur mode et vous pourrez vous délecter de mes sublimes articles, vous bande de ploucs, et peut-être frôler mon charisme, ma classe et bander en vous disant que si vous suivez mes conseils avec assiduité devenir beau.
Je sais, je sais, ce n'est pas une mince affaire mais bon vu le cachet que Joe me propose je ne peux décemment pas refuser. Il faut bien que j'entretienne mes maîtresses, que je paye mes rails et mes costumes Dior ; toutes ces choses indispensables qui font que je suis moi et que vous restez vous-même.
Oh et puis saluez tous ma première groupie que j'ai eu au téléphone hier soir, la jolie Fraise celle qui rit quand on la... Enfin Fraise est toute gentille et à une tout petite voix de toute petite fille, alors il faut lire son blog et être sympa avec elle. Parce que bon elle est un peu paumé entre tous ces charmants qui lui tournent autour et sa triste condition de blonde.

D'ailleurs en parlant de triste condition et de blog, ça me fais penser que Masta viens de se caser, alors je vous propose que tous ensemble on l'insulte. Parce que c'est vraiment pas web 2.0 comme attitude.



C'était mon dernier article qui ne sert à rien, bientôt des trucs utiles de tous les jours pour vous rendre moins cons.

lundi 17 mars 2008

Drole de vie

Drôle de week end, drôle de vie.
Jeudi soir en sortant du taf j'avais pas tellement le moral, ça m'a fais chier de lui faire du mal. Elle a beaucoup déconné et déconnera encore si je reste avec mais elle est si gentille que ça me tue de lui faire ça. Je sais qu'elle a besoin de moi et que je ne suis qu'un gros égoïste, alors c'est le cœur bien lourd que je me rend chez un pote qui habite tout près de chez moi (enfin à Poit-poit tout le monde habite près de chez tout le monde). Ce qui est bien chez les mecs, c'est qu'on se comprend sans discuter, on est capable de mettre notre cerveau en mode off et de ne pas réfléchir. Sans se parler tout va mieux. Alors on s'est calé dans son canap' avec un kébab et comme des vieilles pétasses et on a maté plus belle la vie et la nouvelle star. C'est ça la classe. Et puis comme une catastrophe n'arrive jamais toute seule l'ouragan Sylvain à débarqué troublant la paisible quiétude (ça se dit ?) dans laquelle nos cerveaux se trouvaient. Il voulait fêter mon célibat qu'il disait, c'est vrai que c'est un drôle d'oiseau lui aussi le Sylvain. Toujours à jongler entre deux trois nanas, toujours près à sortir, quasiment increvable on dirai moi en moins classe. Alors on est allé se caler dans un bar, on a bu plus que de raison, j'ai un peu dragué la serveuse qui nous a filé des sabres laser (enfin des pailles fluos) et puis à un moment je suis sortit fumer, il y avais une fille à coté de moi qui me regardais en tirant sur sa clope. J'en avais rien à branler aussi jolie fut-elle et elle décida d'engager la discussion, fait étonnant les filles sont si peu habituées à draguer qu'elles en sont tout sauf subtiles. Parce que aborder un mec en lui disant "c'est chiant de fumer dehors" c'est pas tip-top, que voulez-vous que l'on réponde à ça ?
Alors j'ai dis "Ouais..." et puis la les questions ont fusées, et patati que je suis étudiante mais que je bosse comme serveuse et patati que fais tu dans la vie ? Et patata que c'est intéressant. Bref je répondais courtoisement en tirant le plus vite possible sur ma cigarette quand soudain un clone de Jesus genre fan de jeux de rôles dans le trip médiéval s'incrusta dans la discussion et je pus m"échapper au moment ou il décida de parler politique... perdant va. Mais à peine eu-je remis les pieds dans le bar que mon téléphone sonna et c'était elle. En larmes.
Ca m'a rendu tout triste alors je suis rentré tout con.

ps : Le lendemain j'ai fais tout mon taf de la semaine en un jour (oui c'est toujours comme ça le vendredi : je ne branle rien de la semaine pour tout faire en 7 heures) et une fois que j'avais finit je suis allé acheter un ukulélé pour l'anniversaire de mon frère et à voir sa tête le samedi soir quand je lui ai offert il avais l'air content.

jeudi 13 mars 2008

un COUP Dans lE COEUR

Je ne vous l'avais peut-être pas dit mais depuis quelques temps je suis maqué, hé ouais. Sauf que voila, je ne suis pas le genre d'oiseau que l'on met facilement en cage, alors quand on essaye de me faire croire que je ne suis pas à la hauteur, que j'ai de la chance, quand on inverse les rôles il m'arrive de mal le prendre.


Qu'es-ce que j'ai bien pu faire pour ne jamais être assez bien pour
toi ?

C'est tout de même assez étrange, c'est toi qui me veux, c'est toi qui m'a dit "je t'aime", c'est toi qui m'a dit que ça ne sera plus comme avant, que tu feras attention mais c'est moi qui suis assez con pour te croire.
Pour toi, j'écris mal, j'en fais trop avec ma tenue, je ne suis pas assez démonstratif dans mes sentiments, je ne suis pas assez jaloux, je suis une crevette et j'en passe.

Alors c'est décidé, j'en ai marre de tes sous-entendus, de tes problèmes, des mecs qui soit disant te draguent, de quand tu me fais la gueule parce que je suis avec des potes ou dans un café, j'en ai marre de ressembler au mec gentil que tu voudrai que je sois.
Tu altères ma confiance en moi donc plutôt que de te le dire par téléphone, je me fais du bien en l'écrivant (mal) et tant pis si je rate quelque chose avec toi. Je continuerai à chercher.
Bisou ma puce, que la force soit avec toi, tu le mérite.

mardi 11 mars 2008

Graine de star

Un petit article pour donner un genre un peu plus skyblog.

Je ne sais pas pour vous mais moi en tout cas j'ai toujours mis un point d'honneur à essayer de ne ressembler à personne, à me forger mes propres opinions, ce qui d'ailleurs m'a valu bien des différents avec mes parents et l'école. Je me suis toujours intéressé à la mode, sans pour autant tombé dans les clichés ; entendez par la que j'essaye d'être élégant. J'aime à penser que je suis unique sans pourtant être prétentieux alors forcément quand on me compare à Cristophe Willem, cet homme sans classe, qui porte ses chemises débraillées, qui se tient voûte et qui de surcroît n'est pas très beau ça m'agace un peu. Je portais des lunettes noires avant qu'il ne passe à la télé (lui aussi sûrement) j'avais une coupe de cheveux de pd du 16eme avant lui aussi et j'en passe. Merde putain de bordel de bite à cul, cessez de me comparer à ce mec, je vais finir par le détester, le plus drôle dans tout ça c'est que récemment la petite sœur d'une copine m'a dit que je ressemblais à Mika et alors la j'avoue ne plus rien capter (enfin quitte à choisir...).

J'ai donc décidé de me raser la tête, de porter des lentilles, de mettre des baggy's et des ponchos troués comme ça personne ne viendra me faire chier.




Dur, pas vrai ? Et vous qu'en pensez vous, VOUS ?


Et puis ce matin dans le bus, une femme, la trentaine :
-Vous portez fahrenheit ?
-Heuu oui...
-Vous avez bon gout
- Heuu merci :)
Je suis partit au travail tout content, comprendra qui pourra.

lundi 10 mars 2008

PDBDBAC (Putain de bordel de bite à cul)

Hier à 20H


Au moment où j’écris ce billet je suis dans le bus qui me fait quitter Nantes pour retrouver mon charmant 20m2 à Poitiers.

Poitiers phare de la Vienne, fier de son Futuroscope, symbole régional, rutilant, flamboyant et désert comme un dimanche à Missillac. Seul quelques Has been s’y aventure encore, croyant y trouver des sensations fortes. Tu dois te demander cher lecteur ce que le Futuroscope peux bien foutre ici, à vrai dire je n’en sais rien, c’est pourquoi je vais m’empresser de recentrer le texte sur ma vie qui est bien plus intéressante. Comme je le disais je vais retrouver mon appartement en espérant qu’aucune forme de vie inconnue n’ai eu le temps de s’y développer durant mon absence. J’espère aussi que quelqu’un aura pensé à changer la lumière des chiottes parce que je déteste prendre mes aises dans le noir. Et puis je vais aussi et surtout retourner travailler, beurk. Comment peut-on aimer ça ? Se lever tous les matins à 7h, rentrer tous les soirs à 19h pour se vautrer dans son lit. Mon Dieu que c’est triste !

Remarquez on peut dire que j’ai quitté Nantes avec les hommages parce que hier soir j’ai fais la houle mais alors pas qu’a moitié. Genre la fiesta de ouf, celle ou te prend une méga danse.

Et pour ce qui est de danser, je peux vous dire que j’en ai encore les pieds qui fument.

(si jamais tu t’appelles Océane ne lis pas le paragraphe qui suit).

On a commencé la soirée chez moi sur les coups de 22h, une petite quinzaine de potes, on se boit un délicieux petit rosé puis on move dans la demeure d’un autre ami non loin pour pouvoir ramasser encore plus de monde. Evidement c’étais apocalypse now chez lui, alors on s’est mis tempête du désert, et puis après on a commandé les taxis pour aller en boite. La route fut étonnamment longue et une fois arrivés on s’est dit qu’on ne rentrera jamais dedans vu le monde qui faisait la queue. C’était sans compter sur le pouvoir de mon téléphone qui composa le numéro du gérant et lui demanda de nous frayer un chemin à travers les manants, vils faquins et autres pendards de la plèbe qui encombraient notre royal passage !

Ensuite on a bu du champagne, on s’est fais mal au compte en banque, on a dansé serré comme des sardines, certains ont vomis et puis on est ressortis en milles morceaux. Et la ce fut le drame. Je me suis battu comme un chiffonnier pour défendre une copine mais étant donné que j’ai lamentablement perdu je ne m’étendrai pas plus dessus. Je dirai même que j’ai pris une giga branlée avec du sang partout sur mon trench et ma chemise blanche et quoique on en dise le look guerrier c’est finalement pas tip top. Enfin bon, c’est pas la première fois non plus et puis je suis con, j’ai beau avoir le cœur pur je m’étais juré de me battre qu’avec les gamins de onze ans et pas des grosses marmules qui en ont la vingtaine !

Que d’émotions mais le pire dans tout ça c’est que j’ai perdu ma carte quick.

jeudi 6 mars 2008

Un tramway nommé framboise.

Aujourd'hui est une journée pourrie, la preuve j'ai commencé ce billet à 10h et des poussières et je ne le termine que maintenant.

Déjà ce matin j'ai eu du mal a sauter de mon lit, on peux même dire que j'en suis plutôt tombé, comme un crêpe, Paf, et puis petit à petit j'ai lutté pour décoller ma tête du parquet froid ; parce que quand je suis à la maison c'est la guerre, mon frère et ma sœur convoitent ardemment la douche, alors il faut se dépêcher, sinon c'est cuit et je préfère arriver en retard que pas lavé ; quoique si je ne me lave pas les geeks me trouveront peut-être sexy. Bien evidement j'arrive dans la salle de bain en même temps que ma soeur, zut que faire ? Je lui met une grosse beigne pour qu'elle comprenne que le chef c'est moi ici et je la vire à coup de pieds pour assouvir ma soif de tyrannie. Une fois douché et habillé, tiens d'ailleurs à ce propos je dois faire partie de la très rarissime catégorie des garçons qui ne savent jamais quoi se mettre alors qu'ils ont plus de fringues que leur sœur et leur mère réunie, bon ok j'exagère, mais quand même je suis une vraie tapette parfois. Bref hop un coup de fahrenheit pour sentir bon et zou dans le tramway direction l'appart d'un pote qui me fais profiter tout les matins de sa voiture pour aller à l'école. Et la c'est le drame, dans le tramway une entité féminine qui ressemble à s'y méprendre à un porte avion se pose en face de moi, dans ses mains un beignet à la framboise. Jusque la tout va bien, mais ça commence à se corser quand pour ne pas se tacher (j'imagine) la jeune (?) femme se penche et commence à manger. Le problème c'est qu'en dessous elle il y a ma jambe et accessoirement mon pantalon qui déchire la rétine tellement qu'il est beau. Forcément putain de bordel de bite à cul sa putain de framboise s'écrase au ralentit sur mon putain de falzar qui vaut la peau des roustons. Je peux vous dire que j'ai poussé une gueulante telle que ça a du lui altérer son code génétique à la vilaine, ce qui en passant n'est peut-être pas une mauvaise chose.
Enervé comme pas deux je descend du tram pour aller chez mon coupin et la surprise il est malade et il a fait du vomi tout partout, donc il ne peux pas m'emmener, donc je vais de voir me taper tout le trajet en sens inverse, donc je vais devoir prendre le bus, donc je vais être sauvagement en retard et donc je vais manger tout seul ce midi et rentrer tout seul ce soir. Donc je pète un plomb en live.

Putain c'est à cause des journées comme ça que des imbéciles se mettent à créer des blogs !

mercredi 5 mars 2008

Votre vie mais en mieux

Connaissez vous Masta ?

Masta de son vrai prénom mathieu (je ne me rappelle plus du nombre de "t" et puis il n'y a pas de fautes dans les noms propres) est un peu comme vous et moi (enfin en moins beau gosse quand même) mais en mieux, parce que ce mec c'est une machine de production tellement puissante que les idées et les projets fusent dans sa tête à la vitesse de l'éclair ! Autant vous dire que ça turbine sec et que ça chauffe dur la dedans. Jamais à cours d'idées constamment en mouvement, ambitieux, intelligent et cultivé.
Masta c'est aussi une belle rencontre, à l'origine on s'est trouvé sur un forum pour jeunes ados intello-rebelles, on participais à des débats on racontais nos vies, on écrivais des nouvelles et des poèmes c'était mignon. Le truc underground. Et puis voila au bout d'un moment j'ai accroché avec ce type bizarre, j'ai reniflé le talent, ses textes et ses points de vues me parlaient. On étais souvent sur la même longueur d'ondes et puis lui comme moi on est plutôt du genre revanchard, faut dire qu'a l'école on étais rarement les premiers.
Alors on a commencé à travailler tous les deux, on a crée le brainblog qui étais un espace d'expression libre qui tuais sa mère et puis aussi braisntorming (qui défonce ça race) et ça encore c'est rien vous n'imaginez pas la tonne de projets et de truc bidules qu'on peu pondre à la seconde, de quoi exploser son forfait téléphonique.

Alors forcément quand il a vu que j'avais un blog, jaloux qu'il est, il a fait le même. Mais en mieux, c'est ça le talent.

http://tournemonmonde.blogspot.com/

Et comme on dit souvent : rendez-vous au sommet.