jeudi 24 janvier 2008

De l'importance des standards.

Aujourd'hui je suis en forme et alors plutôt que de vous parler de moi, je vais vous parler d'un truc génial. Les standards ! Quoi ? Non ne partez pas, rien à voir avec un truc téléphonique. Il s'agit en vérité de critères mais je trouvais plus joli et accrocheur de marquer "standard".

Alors ou vais-je en venir ? C'est très simple :
Lorsque vous êtes en soirée (j'entends par la une soirée avec des filles, pas une lan party) il y a forcément des personne du sexe opposé qui vous plaisent et d'autres non. C'est une évidence et ça marche dans les deux sens ; on ne peux pas plaire à tout le monde. Le truc c'est que je vois souvent (et d'ailleurs cette éventualité m'est passé par la tête récemment) des personnes qui s'en tapent d'autres "au rabais". Pardonnez cet excès dans ma narration mais j'ai pas trouvé mieux. C'est à dire qu'ils sortent avec des personnes qui ne leur correspondent pas, qui sont en dessous de leur critères de sélection ; ils préfèrent ça plutôt que d'être seuls. MAIS C EST PAS BIEN.
Evidement vous allez choper à gogo, vous serez certainement le roi de la place mais cela ne vous rendra pas heureux, et le jour ou une vraie fille, qui vous plaît, arrivera, vous vous craquerez au profit de sa copine un peu moins jolie et intelligente mais qui ne fera pas de chichi pour une pipe dans les chiottes.
Assumez vos critères, définissez les, n'ayez pas peur d'être seul, ne soyez pas médiocre et renvoyez vous une image positive.
Fut un temps (une période sombre de ma vie) ou je me tapais des filles peu ragoûtantes (tant sur le plan physique que psychologique), je n'ai pas trop de honte à l'avouer, simplement parce qu'elles étaient faciles et que j'arrivai à les fasciner ; Aujourd'hui je préfère partir, plutôt que d'entendre ça, plutôt que d'être sourd. Plutôt que de recommencer.

mardi 22 janvier 2008

Jean Michel Stock

Vous ai-je déjà parlé de mon travail ? Non ? Et de Jean Michel Stock ? Non plus ? Fichtre !

Alors voila si je suis à Poitiers ce n'est pas de gaieté de cœur mais bien parce que j'y ai trouvé un travail en concordance avec mes études sur Nantes (alternance). Et si je me suis expatrié si loin de la civilisation c'est parce que j'ai la bas quelques avantages (sur lesquels je ne m'étendrai pas).

Je suis donc employé chez ***** en tant que technicien informatique pour une durée de deux ans, enfin si je veux faire genre je peux toujours dire "technicien supérieur télécommunication et réseaux d'entreprise" mais ça reviens au même. Le boulot n'en est pas moins chiant. Ah et au risque de décevoir quelque uns de mes fans : non je ne suis pas le fils d'un riche milliardaire oisif, non mon clavier n'est pas en or et les touches ne sont pas fixées avec de la colle mélangée à du LSD. Vous voila avertit, je vis la vie de monsieur toulemonde et...c'est mortel. Dans le sens ou c'est déprimant, chiant, insipide, gris et poussiéreux.
Enfin j'ai tout de même droit à mon petit rayon de soleil. J'ai nommé : Jean Michel Stock. Ce mec est tout bonnement hallucinant, ne riez pas vous en avez tous un à votre boulot, ou alors c'étais votre pion au lycée.

Jean-Mi Stock (comme je l'appelle affectueusement) est sur le papier ce que l'on appelle un responsable gestion du stock. C'est à dire qu'il s'occupe de trier le matos, de la ranger, de l'étiqueter et de contrôler ce qui rentre et ce qui sort. Sauf que ce mec est une farce, vous savez dans le genre qui n'arrive pas à rester à sa place. Je m'explique : d'ordinaire je devrai n'avoir que très peu de rapport avec lui, si ce n'est pour aller de temps à autres lui demander un clavier ou un truc du genre. Mais JMS est du genre à kiffer l'autorité, il est avide de pouvoir. Comme tout bon buveur de sang qu'il est il guette le jeune stagiaire sur qui il pourra asseoir sa domination.
Alors au début j'étais courtois, mais bon moi et le stock on est pas vraiment copain et puis au risque de paraître condescendant je n'apprend pas les calculs de sous réseaux pour remplir des bons de livraisons. Alors je me suis rebellé je lui ai poliment demandé si il pouvais s'asseoir sur ses imprimantes sans toucher les bords. Aujourd'hui tout va mieux, je suis un véritable informaticien, dans le sens ou j'en effectue le travail (bah non je n'ai pas encore trop de boutons ni de petite copine en JPG). Et a ma grande surprise je découvre depuis une semaine la nouvelle face cachée du JMS.
Imaginez. Vous êtes paisiblement entrain d'insulter un ordinateur situé en face de vous qui fais exprès d'être en panne et la se pointe JMS qui au passage ne connais strictement rien en informatique et qui d'un regard désinvolte vous fais : "c'est probablement le port USB, c'est toujours le port usb..." Sur le ton de la confidence (un peu comme si il vous révélais un secret d'état) alors que depuis le début vous travaillez sur la couche réseau. Ce qui reviendrai à dire que si la terre tourne c'est grâce à la fonte des glaces. Je crois que mon exemple pue.
A tout ça on peux aussi ajouter sa fâcheuse tendance à nous donner des ordres dans la veine du : Pierre tu me feras ça pour aujourd'hui. Alors que j'ai un planning que me le dis tout les matins à 8h. Et le fait de nous appeler "SES techniciens" alors qu'on a bien un chef qui nous appelle déjà comme ça, à juste titre. J'ajoute à ce portrait sa fâcheuse tendance au zèle, il ne peux par exemple s'empêcher de déballer les colis sous les yeux du fournisseur effaré avec la maîtrise du mes qui sait où sont les défauts, un peu comme s'il s'agissait d'une importante livraison de poudre blanche. Ou encore sa manie de sans arrêt nous contredire, nous, les professionnels.

"Tiens Pierre tu peux me réparer ce câble cassé ?"
"Mais bien sur Jean-Mi, Abracadabra que ce câble cassé se transforme en téléviseur HD !"

Bref ce mec est une blague et je crois au fond qu'il doit se sentir bien triste. Moi, par contre ça m'a fais du bien de vous en parler.
LA prochaine fois je vous raconterai l'histoire de la secrétaire qui n'arrête pas de me montrer des photos de sa fille.

Tous les personnage, les lieux et les événements sus-cités sont purement fictifs.

lundi 21 janvier 2008

Le retour du lundi

Après une longue absence me re-voici, voila. Oh, je vous vois venir, vous, chers lecteurs. La bave aux lèvres, prêts à mordre pour ne pas avoir donné plus de nouvelles ou pour certains pour avoir recommencé à écrire. A vrai dire, et, étant donné que je suis sur mon blog, j'espère que vous ne verrez aucun inconvénient au fait que je vous propose d'aller vous faire cuire un œuf. Bah oui je fais ce que je veux, je peux même si j'en ai envie ne pas vous donner de raisons. Ce serai salaud, j'en conviens.
J'aurai aimé reprendre l'écriture de ce blog avec le début de ma nouvelle mais le hic c'est que je ne l'ai pas sur cette ordinateur. Vous voila prévenu.
Donc, si je suis partit c'est simplement parce que j'avais la tête ailleurs, dans la vie on a parfois des choses importante à régler qui demande toute l'attention, il m'est arrivé milles bricoles et je n'ai pris aucune bonnes résolutions pour l'année 2008 et j'ai toujours autant de problèmes dans ma caboche. C'est marrant à croire qu'a chaque fois que j'en résoud un, deux autres le remplace, de quoi devenir fou. Mais bon. Je garde le cap, optimiste et déterminé à tirer mon épingle de tout ça. Un jour, peut-être y verrai-je plus clair.
A me relire j'ai l'impression d'être un vieux dépressif. Alors que non. J'ai juste mal à la tête, souvent, à trop vouloir tout diriger.

Cool.