Et pourtant j'ai pas une collec' de pédé.
Ca cogne dans mon cœur comme s'il allait exploser,comme lorsque je cours - j'ai le souffle coupé. Voila ou j'en suis, perdu dans le dédale de mes sentiments, la gorge noué, la mine triste - submergé.
J'ai un putain de moteur sous mon capot, tu le sais mais tu t'en fous. Un jour j'irai tout seul jusqu'à la lune et je reviendrai juste pour te prouver que c'est possible.
Et ce jour la, tu auras l'air conne.
mardi 21 décembre 2010
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14 commentaires:
- Comme un ouragan -
Les bourrasques de vent aimeraient bien m’emporter cueillir la lune avec toi. Mais qu’en ferais-je puisque le lendemain indéniablement le soleil reviendra ? Avec sa lumière céleste, il nous fera croire en un jour nouveau, une renaissance simple et splendide, douce et accorte. Balivernes ! Tu peux bien aller jusqu’à la lune si ça te fait plaisir tu ne feras qu’accroitre la distance entre nos deux cœurs.
Et ce jour là mon vieux, on aura l’air bien con.
Cher Neuro,
tu m'as l'air complètement dépressif depuis que tu as repris ton blog. Je parle du genre de depression sans charme, sans inspiration. Fais comme tous les grands écrivains dépressifs. Raconte comment tu t'es tapé une mineure entre deux rails de coke.
La coke ça fait chier mou et les mineures c'est pas vraiment ma tasse de thé.
Vous êtes bizarre cher anonyme.
OUI! Il est revenu!
Toujours vivant?
Oui, mais je suis au coeur d'un complot.
Et merd...zut, il nous a grillé.
Revenir par hasard. Découvrir de nouveaux posts. Sourir. Se dire qu'il faudra revenir.
U NEED TO BUMP THAT SHEET FAGGOT
REVIENS!
non !
S'il te plais. Je suis en manque.
la suite?
REVIENS REVIENS REVIENS REVIENS
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