jeudi 15 mai 2008

M'essayer c'est m'adopter chapitre 1

Je sais, ce n'est pas très poli de partir comme ça, sans laisser de nouvelles mais que voulez vous on a des moments avec et des moments sans. Je ne le referai presque plus, promis.

Si je suis de retour ce n'est pas parce que je sent l'irrépressible besoin d'écrire, non pas cette fois. Je dois même dire que ces derniers temps j'ai plutôt la flemme. Ce coming back, c'est un peu un devoir de mémoire. Oui, parce que je me suis tapé une pentecôte tellement awesome que ne pas la raconter serait un crime. Je vais donc me faire violence, voyez vous j'ai même pris ce temps habituellement réservé à ma nutrition du midi pour vous l'écrire. Alors si ça c'est pas être altruiste je veux bien me faire malaxer les bourses au blender.

Bref tout commence mercredi, je sort du taf tranquillement et même plutôt joyeusement parce qu'un pote de Panam (j'ai nommé le célèbre Renaud) dont vous pouvez admirer le blog doit venir me rendre visite le soir même, pour passer le week end. La seule tache sombre au portrait c'est que la fuckin' entreprise ou je suis ne m'accorde qu'un seul jour ferié (au choix le jeudi ou le lundi) et qu'en plus de ça, ces salauds ne font même pas le pont ! J'aurai du postuler à la poste.
A peine eu-je mis le pied chez moi que mon téléphone (vous savez celui qui saute de ma poche) se mit à vibrer. Ni une ni deux, tel un cowboy qui se bat en duel je le dégaine et n'allez pas croire que j'ai fait ça parce que je n'aimais pas les vibration à cet endroit la, quoique qu'il parait qu'a cause des ondes on puisse perdre son appendice...
Au bout du fil c'est mon pote Sylvain amoureusement surnommé la tornade qui me propose d'aller boire un verre en ville parce qu'il fait beau, que c'est plein de jolies filles et qu'il faut pré-fêter l'arrivée de Renaud.
-Doucement amigo ! Lui repondis-je, je te rappelle que demain je travaille moi !
Mais certains arguments foireux, et surtout ceux-ci méritent d'être avalés.
C'est ainsi que nous nous retrouvâmes, battant le pavé, comme deux dandy lorsqu'une vilaine voix nasillarde nous fîmes stopper net. Cherchant la cause de cet affront mes yeux rentrèrent en collision avec la projection vivante d'un espèce de golum, affublé d'un pull à rayures hideuses.
La créature en question était en fait le barman d'un pub situé non loin et comme il faisait la fermeture il nous invita à y entrer pour boire un verre, dans l'intimité.
Il s'avéra après 5-6 bières à l'œil que Gollum était gay, mon alarme située dans mon cul se déclencha mais bon après tout et malgré quelques souvenirs difficiles je me dis que je ne risquai rien. Attention, n'allez pas croire que je suis homophobe hein, c'est juste que généralement ils essayent toujours de m'attraper. Bref une fois bourrés il nous fit faire le tour des autres bars (gays) avoisinant, j'y appris qu'un de ses comparses barman voulait bien me faire une pipe et aussi que j'étais gay mais que je ne le savais pas encore. Tu m'en diras tant. Un peu plus tard il nous invita au restau et la je vous raconte pas comment que le vin il coulait à flot mais ce qui fut le plus épique c'était sa manière de nous draguer. Si nous héteros draguions les femmes aussi bien que lui s'y prend avec les hommes nous aurions quasiment à coup sur 100% de réussite. Heureusement pour moi, c'est chimique je ne peux pas céder à de telles avances.

Complètement bourré je me dirige vers mon appart' et en voulant monter les escaliers, ou j'ai bien du me rétamer une centaine de fois je me fis la surprenante réflexion qu'il y avait de la musique bien forte dans le couloir. Intrigué je frappa à la porte d'où émanait le bruit et Raoul le mexicain qui s'habille exclusivement avec des slips m'ouvrit la porte. C'était la fiesta chez lui avec plein d'alcool, de mexicaines et d'autrichiennes. Ma conscience me dit de faire demi tour mais ma raison pris le dessus et me conseilla d'entrer. C'est vrai ça, pourquoi aller se coucher alors qu'on peux encore se la mettre ? Pour le travail ? HAHAHAHAHA...

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Heureusement pour toi que cette absence valait le coup hein !

Masta a dit…

MOAR!